Mes idées feront-elles des petis ?
Voici la capture d'écran d'un papier de la Nouvelle République (l'image est cliquable pour agrandir) où elle développe une de mes idées. Je pense même qu'on pourrait aller plus loin dans le concept. Mais ça n'a pas l'heur de plaire à tout le monde.
J'en veux pour preuve un autre intervenant qui proteste qu'on "mâche le travail" des ripeurs (éboueurs) sans avoir conscience de l'extrème pénibilité de ce travail.
Voici son propos tel que publié par la NR
Et voici ma réponse postée il y a quelques minutes.
Vous pourrez trouver l'intégralité de la page sur la NR :
J'insiste lourdement sur cette idée de bennes automatisées qui vont coller les ramasseurs au chômage parce que j'ai vu un préalable dans le métro parisien où nombre d'agents d'entretien ont été remplacés par des balayeuses automatiques. J'avais des copains parmi les grèvistes des années 90 qui voyaient leur portion se réduire et leurs conditions se dégrader.
Avant même de créer des petits boulots pour les chomeurs qu'on veut à toute force réinsérer, faudrait déjà penser à ne pas détruire le travail existant. Nos capitalistes ne détruisent pas l'emplois pour créer une société à dominante de loisirs telle que rêvée par les élucubrations d'Emile Pouget ou Gilbert Keith Chesterton mais bien pour restreinde les coûts salariaux et engendrer une misère endémique de gens déboussolés qu'on parque ensuite et contrôle comme du bétail dans des guetthos sociaux.
Gérer les déchets intelligement c'est aussi de l'écologie humaine et de la résistance à la destruction structurelle du contrat social.