17 mai 2011
Rue dégueulasse... Suite...
Ce matin leurs poubelles ont changé de côté de rue ; je ne sais pas qui a fait ça, pour une fois je n'étais pas debout avant 6 h 30 ; mais ça ne résoud rien puisqu'elles sont restées à encombrer notre trottoir.
J'ai appris ce matin qu'une voisine, un peu plus bas dans la rue avait essayé de parlementer avec eux, le résultat ne me semble guère évident.
Je ne sais d'ailleurs pas comment elle a fait pour avoir un contact : à leur arrivée je les ai salués sur le pas de la porte, premier acte d'une rencontre. Ils n'ont pas répondus. J'ai aussi parlé gentiment aux enfants, plusieurs fois. Mais il est vrai qu'elle n'hésite pas à sonner chez les gens... Moi je ne suis pas comme ça. Pour que j'aille chez quelqu'un il faut que je sois contraint... Quand j'étais jeune oui, je l'aurais fait, je l'ai fait... Mais j'ai eu trop de déconvenues... Je ne crois plus en l'homme.
La voisine m'a dit : "Ils viennent de Guyanne"... Et alors ? La Guyanne c'est français ce me semble non ? C'est de là-bas que partent nos fusées qui vont répandre des débris dans l'espace circumterrestre. Guyannais ? Ben justement : plus français que les autres d'avant qui parlaient au mieux un français approximatif et étaient loin de piger tout ce qu'on disait. Et ces gens là étaient propres et ne foutaient rien à trainer. Je les ai pratiqués 7 ans, je sais de quoi je cause. Ce que des étrangers, musulmans, ont pigés, des français doivent le comprendre. Parce que je regrette, mais pour ce qui est de "l'intégration culturelle" ils sont bien adaptés. Un examen de leurs poubelles prouve qu'ils ont bien assimilé le mot "consommation" par exemple. Et y'a pas de connerie qu'ils n'achètent pas dès que leurs moyens leurs permettent. Vous voulez je vous dise où ça va finir tout ça ? En pleine nature ! Comme d'hab'
Tous ceux qui voient leurs poubelles refusées, au lieu d'aller en déchetterie et de compacter un peu, jettent n'importe où... On a fait un petit tour autour de Niort ce we... j'en parlerai dans un autre papier... Vous verrez. La CAN n'est pas assez active en fait sur ce terrain des dépots sauvages. Faudrait, quand un dépot est refusé en ville, intervenir auprès du contrevenant dans la journée. Eventuellement ramasser le dépôt et le facturer au déposant, avec ou sans amende. Tout particulièrement pour les récidivistes. La première fois ou les deux premières fois on pourrait se contenter d'une explication, d'un avertissement. Puis après faudrait agir plus sérieusement.
Du coup leur poubelle à emballage a été refusée. Normal, y'avait n'importe quoi dedans.
Et les sacs sont restés par terre...
J'ai envoyé des photos au service déchets de la CAN
La suite au prochain numéro
Publicité
Commentaires