18 mai 2015
La main de la Providence dans le falzar des coïncidences
Vivre sans fleurs serait pour moi un peu comme vivre sans air à peu près. Je suis bien content qu'on aie remplacé l'infâme parking de la Brèche par des jardins, même si je trouve que la pelouse y occupe un trop grand espace vide ; je n'aime pas les grands...