Zarbi, comme c'est curiotisant
De bon matin, j'ai rencontré le train des trois poubelles en voyage... Et oui, dès poltron matou, l'heure où les chats ont peur, je traînais mes savates dans le coinstot en quête d'anomalies dont pour la plupart auxquelles j'étais déjà affranchi de la veille crépusculaire déjà faisandée. La nuit m'ayant portée conseil de discipline j'ai photographié ce charmant petit rassemblement. Comme Lazard lève-toi et cours elles étaient toutes là celles qui devaient être là. Ou à peu près. Sauf que y'en a que deux parmi les jaunes qui auraient dû être là puisque comme je l'ai dis dans un présent post : une seule poubelle de rechange a été livrée et c'était chez nous et que les autres avaient apparemment été chouravées puisqu'elles ne sortaient plus, hors relativement au volume de consommation de leurs utilisateurs, c'était anormal, de plus ils les sortent généralement. La CAN ne livre ici que le mardi et le jeudi. Ça signifie qu'une avait été escamotée délibérément, un peu comme la nôtre qui est revenue subitement d'un voyage à Rome pour assister vraisemblablement à une messe de Saint François. C'est qu'elles sont chébran nos poubelles hein ? Le prénom François se porte si bien actuellement. Trop top tendance quoi. Tralalilalère, monte là dessus tu verras des martres, tralalilala tu verras... Devine ? Bon, hein, comme j'expliquais, c'est que je suis parano, bipolaire etc hein ? Ça sent pas le coup monté, à peine !
Ceci dit, cette petite ballade matutinale m'a appris bien d'autres choses sur l'honnêteté relative des gens biens du quartier. Enfin de certains tout au moins. Et c'est mézigue le suspect. Vous saviez vous que les cochons volent ? Mais si, mais si, il faut y croire. Amen.